La coopération n’est pas un objectif – c’est un effet secondaire.
Dans les discours managériaux, on entend souvent : « Notre objectif, c’est de renforcer la coopération. »
Mais voilà le paradoxe : plus on la vise directement, plus elle nous échappe.
Pourquoi ? Parce que la coopération ne se décrète pas. Elle émerge.
Comme un feu qui prend, si certaines conditions invisibles sont réunies :
➡️ la liberté d’agir sans crainte
➡️ l’équité dans les responsabilités
➡️ l’authenticité relationnelle
➡️ le partage clair des besoins
➡️ l’autonomie articulée à l’interdépendance
En réalité, la coopération n’est jamais la cause. C’est toujours le symptôme, le symptôme d’un climat où les individus n’ont plus besoin de se protéger.
Dans Au cœur du chaos (le livre), je partage ce constat issu du terrain : les leaders qui obtiennent une coopération authentique ne la cherchent pas directement. Ils cultivent les conditions propices et la coopération suit.
️ Dans cet épisode de Au cœur du chaos – la boussole du leader, je décrypte ces cinq conditions essentielles, avec exemples concrets et questions-clés à se poser : cliquez pour écouter sur Apple Podcasts.
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